Besoin d'aide pour des blessures de course à pied ?
Chez Clinique Viivacore, nous offrons des thérapies avancées et personnalisées pour traiter vos blessures de course à pied, soulager la douleur, accélérer la guérison et vous permettre de reprendre la course en toute sécurité. Optimisez vos performances et récupérez rapidement avec nos solutions.
Bienfaits du traitement des blessures de course à pied
À la Clinique Viivacore, nous traitons les blessures de course à pied, y compris les genoux, les chevilles, les tibias, les hanches et les talons. Nos thérapies avancées vous aident à soulager la douleur, comme celle de l'essuie-glace, et à récupérer rapidement. Reprenez votre course en toute sécurité avec notre expertise en blessures de course à pied.
FAQ
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Les coureurs consultent souvent pour des inconforts au genou, au tibia, au tendon d’Achille, à la hanche et sous le pied. On voit fréquemment le « genou du coureur », les irritations au niveau du tibia (périostite), les tensions au tendon d’Achille, les inconforts de hanche liés à la surcharge, ainsi que les douleurs sous le talon ou la voûte plantaire. La plupart de ces problèmes sont liés à un mélange de facteurs : volume d’entraînement qui augmente trop vite, récupération insuffisante, manque de renforcement musculaire, chaussures usées ou terrain trop dur. La thérapie pour les coureurs vise à analyser ces éléments, à travailler manuellement sur les muscles et les tissus sursollicités et à mieux répartir les charges pour que la course redevienne confortable.
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Vous devriez consulter dès qu’un inconfort revient souvent à la course ou commence à limiter vos entraînements. Si une gêne persiste plus de 7 à 10 jours malgré une baisse de volume, ou si vous devez modifier votre foulée pour « contourner » une douleur, c’est un bon moment pour voir un thérapeute. Plus on intervient tôt, plus il est facile d’agir sur les tensions musculaires, les compensations et les restrictions de mobilité avant qu’elles ne s’installent. En thérapie pour les coureurs, on prend le temps de comprendre votre charge d’entraînement, votre historique et vos objectifs (performance, santé, plaisir), puis on ajuste le plan pour vous permettre de courir le plus longtemps possible, avec le moins d’interruptions possible.
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Avec une gêne légère, il est parfois possible de continuer à courir, mais en adaptant l’entraînement. Si l’inconfort reste stable, ne s’aggrave pas pendant la sortie et disparaît rapidement après, on peut souvent réduire la distance, enlever les séances rapides et surveiller l’évolution. En revanche, si la gêne augmente à mesure que vous courez, vous fait boiter ou vous empêche de vous sentir en contrôle, il est préférable de lever le pied et de remplacer temporairement certaines séances par du vélo, de la marche ou un travail musculaire. En thérapie pour les coureurs, on vous aide à faire la différence entre un simple signal d’alerte lié à la charge et une situation où il vaut mieux mettre un vrai « stop » et consulter un professionnel de santé.
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La thérapie manuelle axée sur les muscles et les articulations aide le corps à récupérer plus efficacement après une blessure liée à la course. On travaille sur les zones sursollicitées (mollets, quadriceps, hanches, dos, pieds) mais aussi sur les régions qui compensent. Les techniques manuelles permettent de relâcher les tensions, d’améliorer la circulation locale, de redonner de la mobilité aux tissus et de réduire les blocages qui entretiennent l’inconfort. L’objectif n’est pas seulement de traiter la zone qui fait mal, mais de comprendre pourquoi elle a été surchargée (technique, volume, posture, faiblesse musculaire). Selon votre état de santé et votre niveau de course, on bâtit ensuite un plan qui combine travail manuel, conseils d’adaptation de l’entraînement et, au besoin, renforcement ciblé.
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Pour prévenir les blessures chez les coureurs, le renforcement doit cibler surtout les jambes, les hanches et le tronc. Des exercices simples comme les squats, fentes, montées sur la pointe des pieds, ponts de hanches et gainage (planche, side-plank) aident à stabiliser genoux, hanches et chevilles. L’idée n’est pas de devenir bodybuilder, mais d’avoir des muscles capables de supporter la charge de course sans s’effondrer en fin de sortie. Deux courtes séances de 15–20 minutes par semaine peuvent déjà faire une grande différence. En séance, nous pouvons vous proposer des exercices adaptés à votre niveau, à faire à la maison, et vérifier si votre technique d’exécution est sécuritaire. Ce combo renforcement + thérapie manuelle est une base solide pour courir mieux et plus longtemps.
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La reprise doit être progressive, planifiée et surveillée. On commence généralement par des séances courtes avec alternance course/marche (par exemple 1 minute de course, 1–2 minutes de marche sur 20–30 minutes), puis on augmente petit à petit la durée de course en gardant la vitesse très confortable. L’objectif est de tester la réaction du corps sans déclencher de nouvelle irritation. On évite les côtes, les intervalles intenses et les longues distances au début. En thérapie pour les coureurs, on adapte ce plan à votre blessure (genou, tibia, tendon d’Achille, hanche, pied), à votre historique et à vos objectifs. Si l’inconfort réapparaît à un certain palier (durée, distance, fréquence), on ajuste au lieu de forcer, pour consolider vraiment la reprise.
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La thérapie pour les coureurs ne remplace pas un médecin, un physio, un podiatre ou tout autre professionnel de la santé. Elle vient en complément pour aider le corps à mieux récupérer, mieux bouger et mieux encaisser la charge de course. En présence de symptômes importants (douleur très vive, chute, traumatisme, gonflement marqué, impossibilité d’appuyer la jambe, malaise général), il est essentiel de consulter d’abord un professionnel de santé. Une fois la situation clarifiée, la thérapie manuelle, l’ostéopathie ou la thérapie sportive peuvent soutenir la réadaptation, réduire les tensions résiduelles et accompagner la reprise de la course. Notre rôle est de travailler avec votre corps, et au besoin en collaboration avec votre équipe médicale, pour que la course reste un plaisir, pas une source de blessures à répétition.

